Le site officiel du Desmodium adscendens du Docteur Pierre TUBERY

http://tubery.pierre.free.fr/

Conseils d'utilisation - Résultats (Etude)

          A – Hépatites virales


Il n’a pas été décelé d’action antivirale directe, mais l’action immuno-modulatrice a permis probablement une action antivirale indirecte.

 

          a/ Phase d’invasion, souvent avec ictère (jaunisse)

 

C’est là que s’est appliquée la pratique traditionnelle africaine ; il s’agit le plus souvent d’hépatites A ou B.

Les résultats sont ici remarquables : disparition en une semaine de l’ictère, des nausées, des maux de tête, de la fatigue et de l’inappétence.

L’invalidité passe de deux ou trois mois à huit ou dix jours. Les transaminases se normalisent en dix à trente jours selon la gravité de départ. Le Desmodium adscendens a donc empêché le virus de détruire les cellules hépatiques.

Une étude portant sur 32 observations d’hépatite en phase d’invasion confirme ces données, y compris dans des cas sévères : un patient qui avait des transaminases à 8000 U a été rétabli cliniquement en huit jours ; les transaminases se sont normalisées après 40 jours. Les patients soignés précocement par le Desmodium adscendens ne passent pas à la chronicité.

 

          Cas de l’hépatite C


Celle-ci a, en général, une phase de début très peu parlante, période de fatigue, petite fièvre faisant diagnostiquer un « état grippal » mais absence d’ictère qui aurait fait le diagnostic.

Cet épisode a toutes les chances de passer inaperçu et d’évoluer en quelques mois vers la chronicité comme l’hépatite B non traitée.

 

          b/ Phase de chronicité

 

A la destruction de cellules hépatiques par le virus, s’ajoutent deux phénomènes : la fibrose hépatique (cicatrice des lésions) et, moins souvent, l’auto-immunité (attaque du foie par les propres lymphocytes du patient). Ces deux phénomènes peuvent évoluer vers des échéances fatales : la cirrhose et le cancer du foie.

Mais ces dangers peuvent être diminués par un actif extrait d’une autre plante de la pharmacopée africaine : l'acide sénégénique (issu d'un arbuste de la savane, de la famille des Polygalacées, dont on utilise les racines). Ce principe actif est obtenu après extraction sodique et hydrolyse (voir documentation disponible au C.R.P.). Le produit fini est nommé Sélongénine (chimiquement Sénégénate de magnésium).

Il présente deux propriétés pharmacologiques :

1- Action de sédation de l’action des lymphocytes dans l’auto-immunité, cette action étant liée à une inhibition de la transformation blastique (T.B.) des lymphocytes. Cette T.B. est une phase de rajeunissement qui précède la multiplication et l’augmentation de leur agressivité contre le foie. On maîtrise ainsi l’auto-immunité.

2 - Action anti-fibrose utilisée en médecine traditionnelle africaine conte les cicatrices vicieuses. Cette action maîtrise ainsi la fibrose hépatique et ses conséquences graves.

  

          Concrètement,

on doit continuer le Desmodium adscendens si l’augmentation des transaminases persiste, traduisant la destruction des cellules hépatiques. Et surtout, ajouter la Sélongénine si la biologie prouve la fibrose (gamma GT et surtout fibrotest qui doit s’améliorer après quarante à soixante jours).

Le virus sera souvent éliminé dans l’hépatite B, rarement dans l’hépatite C, mais le patient aura un statut de « porteur sain » (cf. Bibliographie 10 et 11, les travaux des Professeurs Arouna KEITA ET Mauricio GRANDI).

          Ce traitement est tout à fait compatible avec le traitement conventionnel :

            Interféron et antiviraux.

            Il peut :

            - le rendre plus efficace (surtout dans la fibrose),

            - lui permettre une meilleure tolérance (grâce au Desmodium adscendens),

            - assurer une alternative en cas d’intolérance majeure ou d’inefficacité de l’interféron.

 

            B – Le traitement ou la prévention des atteintes toxiques du foie (alcoolisme) ou des intolérances d’origine médicamenteuse (travaux du Docteur Anne-Marie TUBERY)

 

- Alcoolisme (mais la suppression du toxique s’impose) :

Tout traitement chronique au long cours (puisque la molécule thérapeutique est le plus souvent métabolisée et détoxiquée par le foie) induit à la longue une surcharge pour la cellule hépatique.

C’est ainsi que bénéficieront grandement de cures épisodiques de Desmodium adscendens, tous les patients qui suivent un traitement prolongé.

Parmi eux, ceux qui ont un traitement de neuroleptiques, somnifères ou psychotropes (dans le cas de dépression nerveuse), antibiothérapie au long cours, antiviraux (trithérapie du Sida), anticomitiaux, traitements hormonaux de la ménopause et également les contraceptifs (pilules). En cancérologie, les traitements antihormonaux (Tamoxifene, aromazine ou équivalents).

 

Prévention des effets secondaires de la chimiothérapie anticancéreuse

Les patients qui ont eu les premières chimiothérapies sans protection et qui ont introduit le Desmodium adscendens lors des suivantes, font bien la différence : suppression ou diminution des nausées, vomissements, inappétence ; autrement dit, un maintien de l’état général bénéfique pour la lutte anticancéreuse ou anti-leucémique.

Posologie pour l’adulte :

Commencer la veille de la chimiothérapie et continuer pendant huit jours :

Deux cuillerées à café de Desmopar matin et soir dans un verre d’eau, avant les repas, soit un flacon par chimio.

 

C – Les allergies

 

Ce sont les allergies avec hypersensibilité immédiate qui obéissent au Desmodium adscendens. Elles sont caractérisées par la rapidité de leur survenue et l’augmentation des IgE totales : urticaires, oedèmes de Quincke, eczéma de contact, allergies digestives, asthme allergique.

Il faut en général trois à quatre semaines de Desmodium adscendens (la décoction de plante sèche est peut être préférable) pour obtenir un résultat souvent définitif.